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28 juin 2020 7 28 /06 /juin /2020 13:10

sujet 26/2020 - clic

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Je les vois ces mains, blanches ou noires, peu importe

Quand elles caressent, la douceur du geste est la même

Je les vois ces mains, blanches ou noires, quand elle donnent, c'est avec la même sincérité

Je les vois ces mains de différentes couleurs se donner la main pour accomplir la réussite du partage

Je les vois ces mains sur l'affiche de cette publicité qui vante la solidarité

Je les aime tant ces mains, elles ont en commun l'amour de bienfaits quand elles se tendent vers nous

J'aime les mains qui traversent ma vie, celles qui disent bonjour,

celles qui caressent, comme celle de ma Maman que je n'ai jamais oubliée,

celles qui, d'un revers semblent dire, mais de rien avec plaisir,

Celles qui se posent sur ton bras, pour un peu de compassion,

celles qui t'envoient quelques mots de soutien au travers d'un gentil message,

ces mains, blanches ou noires n'ont pas besoin de couleur pour être aimées,

alors mains du monde je vous aime pour tout cela

 

 

Le blog de Ghislaine

27 juin 2020 6 27 /06 /juin /2020 15:56

sujet 26/2020 - clic

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Dans les épreuves, les chutes physiques et la souffrance morale

On découvre parfois ce ceux qui tendent la main ne sont

Pas ceux qu'on pensait ou que toi, qui m'as laissé seule

Aurait cru; ceux qui tendent la main, sont souvent

Des inconnus, des étrangers, si loin de cette bienveillance

Mièvre qui nous envahit, ce politiquement correct.

Ces proches qui ont été bienveillants vous le reprochent

Dès que possible, quand vous n'êtes plus assez reconnaissant

A leur goût, tendre la main?

 

 

Le blog de Laura Vanel-Coytte

27 juin 2020 6 27 /06 /juin /2020 14:45

sujet 26/2020 - clic

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Elles sont de partout
du nord ou du Sud
d’Ouagadougou
ou bien des Bermudes.

 

Elles sont blanches ou grises
ou noires ou miel
elles sont fermes ou lisses
ou jeunes ou bien vieilles.

 

Elles sont grandes et minces
sombres ou pâlottes
elles sont fermes pinces
battoirs ou menottes…

 

Elles sont mains caleuses
creusées de leur vie
elles sont mains heureuses
de celles qu’on envie.

 

Elles sont mains levées
mains qui revendiquent
elles sont main fermées
douces et pacifiques.

 

Elles sont mains tendues
vers ceux qui galèrent
vers ceux que l’on tue
ceux dans la misère…

 

Car le temps les presse
ces milliers de mains
d’offrir leur tendresse
leur vie, leur soutien.

 

Elles sont mille mains
toutes rassemblées
pour bâtir demain
un monde de paix.

 

 

Le blog de Cloclo

 

27 juin 2020 6 27 /06 /juin /2020 12:51

sujet 26/2020 - clic

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L'autre jour, en me rendant en ville, je me suis arrêtée devant une affiche.

Qu'elles sont belles ces mains qui se touchent ! Toutes ces mains blanches, noires, jaunes qui font fi de la diversité pour s'unir et construire un monde nouveau empli de justice et de bien être mais ce n'est qu'une affiche.


En réalité tout est fait dans les hautes sphères pour nous diviser, racisme en tous genres fleurissent à la télé, dans les journaux et sur les réseaux. Certes, il y a des gens racistes, il y en aura toujours mais si dès le plus jeune âge, on apprenait aux enfants que nous sommes tous humains peut-être que cela changerait. Mais voilà, ce n'est pas le cas en ce moment, bien au contraire .

Après le corona-machin qui nous a bousillé un pan de notre vie, voilà qu'une propagande se met en route à cause d'un homme tué aux Etats-Unis et aussitôt en France et dans le monde, c'est la folie avec des personnes bien mal guidées et qui nous amènent tout droit dans une guerre civile sous les regards «bien intentionnés» de ces gouvernements pourris jusqu'à l'os qui feront tout pour garder leurs privilèges .


Qu'elles sont jolies ces mains qui se touchent, malheureusement ce n'est qu'utopie.

 

Le blog d'Aimela

27 juin 2020 6 27 /06 /juin /2020 12:42

sujet 26/2020 - clic

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Mains blanches mais noir dessein

L'histoire encore s'en souvient

D'une Allemagne nazi

Entraînant son pays

Dans la guerre avec l'autre

La haine de l'autre...

 

Main noire, sous le joug colonial

Main noire, esclave

Bipède qualifié de primate

Homme singe d'Afrique

Homme noir sur fond blanc

Ce blanc qui ne l'est, pas tout blanc... !

 

Je suis de la race noire, et alors...

Nos femmes d'ébène sont belles

Pareils nos chants, et nos danses, et nos poètes...

« Femme nue, femme noire

Femme nue, femme sombre

Je chante ta beauté... » (Sédar Senghor)

 

Homme noir, femme noire

Affiche ce que tu es avec fierté

Un être humain semblable à tous,

Même si tu luttes encore et toujours

Contre le racisme, qui humilie, qui rejette, qui tue...

 

 

Le blog de jill bill

27 juin 2020 6 27 /06 /juin /2020 11:00

Image Internet

 

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Bonne semaine,

 

Mil et une 

27 juin 2020 6 27 /06 /juin /2020 08:56

sujet 25/2020 - clic

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Regarde bien disait grand père… Un tableau comme celui-là tu n’en verras plus et il faut bien chercher pour découvrir le vrai petit Jésus.

J’ouvre grand mes yeux et je cherche, moi le petit Jésus, je ne l’ai jamais vu. En photo, en sculpture mais je n’ai vu qu’un bébé rondouillard façonné à l’adulte mais pas comme un bébé pour faire risette ou des gouzi gouzi… Donc l’œil vif, écarquillé au maximum, je vois un papillon, bleu outremer que papi ignore, des arbres, des lianes, de l’eau, des oiseaux. Cela me donne chaud… » Papi je voudrais bien une glace, - oui mon Petit quand tu auras trouvé Cupidon. »

Ah parce que Cupidon et petit Jésus c’est pareil. « Oui enfin oui mais non » marmonne papi ! Tout ce que je vois c’est une petite fille qui fait du vélo sans casque, des gens qui jouent à la manifestation et puis c’est tout. J’ai un peu peur ; pas de Jésus Cupidon pas de glace ».

 

Le blog de Lilousoleil

24 juin 2020 3 24 /06 /juin /2020 15:32

sujet 25/2020 - clic

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Tout doucement va la source,
Serpentant dans la forêt.
Sans atteindre la Grande Ourse,
Et ce n'est pas un secret,
Elle élève vers les nues
Chaque arbre qu'elle nourrit ;
Faune et flore, entretenues,
Dans sa ligne ont un abri.
 
D'elle naît d'abord la sève.
Puis la fleur, et puis le fruit.
L'animal trouve sa fève,
La vie amène son bruit...
 
Moins doucement va la foule,
Cheminant dans la cité.
Torrent de sang chaud qui coule
Avec efficacité,
Elle élève vers les nues
Chaque ambition qu'elle étreint,
Se trace des avenues
Qu'elle irrigue à fond de train.
 
D'elle naît d'abord le monde.
Puis la guerre, et puis l'espoir.
L'Homme sème dans la ronde
Sa vie, entre rose et noir...
 
Du sous-bois jusqu'à la ville,
De la rue à la forêt,
Mona Caron se faufile
Et son pinceau parle vrai ;
Elle les peint symétriques
Le cours d'eau, le fleuve humain,
Les branches vertes, les briques,
Sur la route de demain.
 
Un même courant de vie
Dans deux environnements,
Un même courant de vie
Dicte tous les mouvements.
 
 
 
Le blog de Fabrice
23 juin 2020 2 23 /06 /juin /2020 18:03

sujet 25/2020 - clic

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Ah parlez-moi d’Eros, d’accord !
Eros, désir,  instinct de vie toujours tendu
Contre son double destructeur
Eros, souffle premier qui nous habite tous,  qui nous tourmente quelquefois comme une mauvaise herbe
Mais qui menace de s’éteindre sous le béton de nos renoncements…
 
Et laissez Cupidon à ses petites mignardises
Avec son cul joli pour de belles comtesses
Ou pour Saint Valentin à la Télévision
On l’appelle « Cupid » ça rime avec « stupid »
Il vous aiguise le désir
Mais un désir de consommer toujours et davantage
 
Alors merci Mona Caron que je ne connais pas
Merci pour ces immenses « mauvaises herbes »
Ces fleurs sauvages, « weeds » en Anglais, que vous avez semées
Sur les façades grises de nos villes fantômes
 
Merci d’avoir réinsufflé cette forêt première, luxuriante, qui nous rappelle d’où nous venons
Et d’avoir fait germer ces fleurs immenses qui grimpent et qui s’incrustent, impérieuses, envahissantes comme les désirs fous qui nous ont habités
Qui nous habitent encore.
 
Mais juste une question, ou une réflexion, chère Mona Caron
« A stream of life », un courant de vie
C’est le titre du tableau que j’ai encore sous les yeux…
Mais où vont-ils, tous ces gens là, qui se rassemblent et qui marchent
Avec musique et banderoles au carrefour de l’espérance
Il semblerait qu’ils n’aient pas vu votre fresque murale
Qu’ils lui tournent le dos…
 
Moi je crois bien qu’ils disent un peu la même chose
Ils manifestent pour la vie
Pour le désir de vivre simplement, mais pour de vrai
Pas en peinture cette fois…
 
Eros est toujours là
 
 
Ilonat
22 juin 2020 1 22 /06 /juin /2020 16:51

sujet 25/2020 - clic

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La fontaine Cupidon

Est en pleine rénovation.

Aucun touriste ne pourra l’admirer

Même à travers la toile un peu déchirée

Qui entoure la place principale,

Où était situé le palais épiscopal.

 

Une grande fresque entoure le chantier,

Couverte d’avocatiers, de palmiers.

Une fresque qui nous ouvre les portes de l’Afrique ;

Un cadre chimérique,

Au pied d’immeubles un peu tristes,

De style cubiste.

 

Rêve d’aventures,

Avec d’autres créatures.

Enfouissement derrière une tenture,

Appuyée sur une forte armature.

L’extérieur est magnifique,

L’intérieur peu sympathique.

 

Fontaine Cupidon en rénovation,

Quartier en pleine recréation,

Que nous cache cette grande toile

D’un bateau la grande voile,

Voguant vers un autre monde,

Pour atteindre le tiers-monde.

 

Imagination féconde des promoteurs,

De nouveaux immeubles les auteurs.

Ils vendent du rêve,

Cachant bien le glaive,

Pour les pauvres gens,

Qui n’ont pas d’argent.

 

Les immeubles lointains seront à leur tour détruits ;

Tout se fera sans aucun bruit.

Les pelleteuses resteront silencieuses ;

Travailleurs et travailleuses,

Habitant l’ancien quartier,

Pour eux, aucune pitié.

 

 

Le blog de Chatondaniel

22 juin 2020 1 22 /06 /juin /2020 10:20

sujet 25/2020 - clic

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Je vis dans une de ces maisons-tour, une maison que personne jamais ne souhaiterait habiter, pas même les architectes qui les ont imaginées un jour, au plus haut de leurs plus bas instincts. Ici, le soleil n'entre que par effraction et semble s'excuser à chaque apparition.

Lorsque je regarde par la fenêtre, je vois la dalle où des gens s'agitent. Un parterre gris, si froid, si attirant parfois que je pense à m'y jeter. Ca serait plus facile et tellement plus rapide qu'en prenant cet ascenseur hors service depuis que les autorités publics ont déserté la cité de la jungle.

Ici, le temps ne se mesure plus, il passe. On ne sait jamais quand il revient, on l'attend, accoudé au balcon. Mon regard parfois se perd sur le mur d'en face,  crée par un Cupidon aux flèches émoussées, un de ces petits êtres asexués qui veut nous rappeler que Dieu existe encore, même ici.

J'habite le 16e, c'est un privilège. il n'y a plus rien d'autre que le ciel au dessus de ma tête, un ciel toujours  gris même si parfois quelques rares oiseaux osent encore survoler ma maison-tour pour s'écraser sur le mur de cette jungle assassine. Un trompe l'œil comme l'œil rieur d'un Cupidon trompeur et armé jusqu'aux dents.

Je vous laisse, je vais fabriquer mes propres ailes, quitter la cité et rejoindre les oiseaux de la forêt...

 

Le blog de Margimond

22 juin 2020 1 22 /06 /juin /2020 06:46

sujet 25/2020 - clic

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Petit vent léger et, c’est le départ de la journée. Des couleurs de l’arc-en-ciel, tout comme en une flèche de CUPIDON, s’élancent au rythme des pinceaux, feuilles et fleurs en contrebas et, ainsi qu’en hauteur. C’est la course devant et derrière les maisons, près des escaliers et, tout au long des rues et ruelles. Tout n’est que beauté ! Tout vit et s’épanouit. Les petits oiseaux sont aussi de la partie.
 
Soudain, aux abords du cours d’eau, surgit tout ce beau monde. C’est le débordement vers la ville, c’est maintenant le moment d’entrer en action car ce n’est pas tout de créer de la beauté ; il faut aussi faire valoir ses idées.
 
Au son de slogans, l’on marche pacifiquement, d’un bon pas, sans casse. C’est l’espoir au cœur, que l’on réclame justice et égalité pour tous.
 
Saura-t-on les entendre ?
 
Puis, comme ils y sont venus, ils entrent qui à la maison, qui au refuge mais d’abord, s’octroient un bon rafraîchissement dans ce petit ruisseau improvisé au goût de miel. Tous se dispersent ; filent les nuages et s’installe tout doucement la nuit.
 
 
 
Le blog de Colette
21 juin 2020 7 21 /06 /juin /2020 19:28

sujet 25/2020 - clic

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Une forêt soudain a poussé

sur les murs de mon quartier

Par la porte de la nuit,

elle est arrivée

elle a tout envahi

elle a bouffé tout le mur de crépi

Elle a semé des fleurs d'hibiscus

de tiaré et de frangipaniers,

Elle a planté bananiers et palmiers

et même des paletuviers

et leurs embrouillamini de racines

qui grouillent et plongent

dans les algues marines

 

Sur les bancs ombragés de l'avenue

qui font face à cette mangrove

des passants se sont installés

comme sur « le radeau des cîmes »

Ils regardent, s'élancent

et se posent sur la canopée

dans une forêt amazonnienne

ou sur une plage hawaïenne

aux senteurs de cocotier

Pour un moment se dépayser

un moment s'imaginer

un moment rêver d'ailleurs

honorés de colliers de fleurs

offerts par de beaux indigènes

 

Un petit moment d'évasion

Un petit moment d'illusion

tandis que volent les flèches de Cupidon

loin vers les belles sirènes

 

 

Le blog de Lecrilibriste

21 juin 2020 7 21 /06 /juin /2020 16:25

sujet 25/2020 - clic

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Où est Cupidon?

Est-il dans la jungle?

Ou dans sa représentation?

 

Où est Cupidon?

Est-il dans la ville

Ou dans sa représentation?

 

Où est Cupidon?

Est-il dans la fleur

Ou dans sa représentation?

 

Où est la jungle?

Où est la ville?

Où est la fleur?

 

Sont-elles le réel?

Ou sa représentation

 

Où est Cupidon?

 

 

Le blog de Laura Vanel-Coytte

21 juin 2020 7 21 /06 /juin /2020 12:18

sujet 25/2020 - clic

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Comment faire de la grande ville
Une jungle belle et poétique
Où chaque manifestation serait remerciement à la Terre
Où chaque piéton et cycliste déambulerait en toute quiétude
Où les immeubles seraient pigeonniers
Pour colombes et tourterelles
Libres de dormir au chaud
Et de voler dans un air pur et limpide
(Les pigeons que nous sommes aujourd’hui n’existeraient plus)
Nous serions tous acteurs de notre bien être
Les liens ne seraient que ceux que nous aurions créés
Pour bien vivre ensemble
Nous avancerions heureux
Parce que conscients
Qu'ensemble on réussit mieux à faire face aux difficultés de la vie
On saurait tous qu’être interdépendants
C'est resserrer les liens d’une liberté joyeuse.
Dans notre jungle sympathique et poétique
nous aurions enfin appris à reconnaître
que certains liens ne sont pas entraves
 
 

Le blog de Jamadrou

21 juin 2020 7 21 /06 /juin /2020 07:07
sujet 25/2020 - clic

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Oh, un grand pissenlit
Sur la façade de l'immeuble
Et d'autres encore qui fleurissent la ville
Magnifique !!! Merci !
Merci pour les pissenlits
Cette plante est la reine de la survie.
 
Qui peint « dents-de-lion » sur les murs de la cité
Ne peut être que semeur, semeuse selon Mona
De graines de vie pour les générations à venir
Je m'associe à cette ode, non sans raison :
Sur cette île où je vis, dans l'hémisphère sud
Alors que l'hiver austral s'installe
Je cueille encore les fleurs, les feuilles et parfois les racines.
 
Je me nourris avec parcimonie de cette sauvage qui ne pousse
Que là où elle décide, impossible de la semer à volonté
Elle a beaucoup de mérite parce que ….
Les fous du karcher chimique ne cesse d'éradiquer toute végétation
Dans les prairies, le long des chemins, des clôtures de leurs maisons
Et même l'autre jour devant le portail.
 
Poussait-là, un magnifique pissenlit dont je prélevais des feuilles
Des fleurs, des boutons si bons
Et cet autre jour... grise mine le pissenlit et cette odeur d'amande !
Oui, ils ont osé, et tout le long et partout à l'entour !
Ma colère fut grande, je l'ai tu déjà
Puis mue par une force silencieuse, j'ai réalisé une affiche
Que j'ai fixé sur le portail
 
« Prière de ne pas pulvériser de produits chimiques
Devant mon habitation. MERCI »
Ça, ils n'ont pas aimé ! Que tous puissent lire le forfait
Que la pancarte reste longtemps...
Elle est maintenant dans la cour, de temps en temps
Je repasse les lettres aux couleurs, et me voici
A y peindre un pissenlit à la façon de Mona
Et au cœur de la fleur... Cupidon.
 
 
Pour information, tout est comestible dans le pissenlit
Qui a des vertus nourrissantes et thérapeutiques
Ici une recette pour réaliser un miel vegan, miel de fleurs de pissenlits.
 
 
Le blog de Miche
20 juin 2020 6 20 /06 /juin /2020 14:45

sujet 25/2020 - clic

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Elle se promène le long de la foret tropicale, il fait chaud et humide, mais Ursula, rien ne la dérange. Elle adore cet endroit magique au coeur de la ville et c'est là qu'elle a donné rendez- vous à son futur 5 eme. Elle veut lui fait connaître ce lieu qu'elle affectionne et où elle passe du temps, où elle se sent bien. Pendant qu'elle attends, elle repense aux autres, ceux qui ont traversé sa vie !
 
Ursula avait vécu plusieurs unions, chacune avait été unique..
Son premier mari, Ugolin, un provencial, faisait carrière dans
la mairie, il portait bien l'uniforme municipal, souvent dans le
milieu urbain, il n'était guère avenant et son caractère bien trop
rigide l'avait usée, elle l'avait donc quitté !
 
Le second mari Ulysse était dans son univers utopique,
il rêvait souvent et pour lui, il n'y avait jamais rien d'urgent !
Tout était reporté ultérieurement, à l'usure, il l'avait lassée,
il était reparti dans son village à Utelle.
 
Le troisième mari, Ulrich, un alsacien adorable, trouvait que tout
était utile, il gardait tout, usuel ou pas !
Intuitive, Ursula se dit qu'elle allait vivre dans une caverne
d' Ali Baba de toc, si elle ne mettait pas les holàs !
Dans l'urgence, elle le pria de quitter la maison avec tout son barda
avant qu'il ne lui refile un ulcère..
 
Le quatrième mari Umberto , le bel italien aux yeux de velours
lui apporta le romantisme et la passion, mais cette passion
hélas, il en faisait un usage bien trop inapproprié  avec les dames.
Elle le congédia pour la ultime et dernière fois !
Il dût louer un utilitaire pour emporter tout ses ustensiles.
 
Aujourd'hui Ursula, attends le cinquième avec impatience, car,
avec ses copines de la maison de retraite, à l' unanimité , utilisatrices
chevronnées de l'usine d'internet, elles se sont inscrites
à un site de rencontres et espèrent bien trouver l'homme de leurs vieux jours !
Elle le sait que Cupidon viendra lui envoyer son 5 eme mari, ici
dans sa foret tropical qu'elle aime tant...
 
 
 

Le blog de Ghislaine

20 juin 2020 6 20 /06 /juin /2020 12:47

sujet 25/2020 - clic

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Vivre en ville

Ville d'acier, de verre et de béton

Béton grisâtre

Grisâtre la vie elle-même

Même si elle est commodité

Commodité côté travail, shopping, loisirs

Loisirs et ses clubs payants...

 

Un mur comme une toile bienvenue

Bienvenue sa luxuriante jungle

Jungle et son eau vive qui court

Court le flux de personnes sur la rue

Rue toujours en mouvement telle la rivière

Rivière qui ne se repose jamais...

 

Longer ce mur, cette jungle artificielle

Artificielle et intraversable, se contenter de la voir

Voir sans l'avoir en métropole

Métropole d'hommes en clapier sans verdure

Verdure, plus qu'un mot...

 

Attendre les congés payés

Se payer petitement la mer, la montagne, la campagne

Avec sa moitié, désignée par Cupidon, ses gosses, son chien

Chienne de vie que la cité...

 

En attendant l'été, longer ce mur avant de faire le mur

Mûr comme un fruit pour décrocher

Se décrocher du métro boulot

Boulot boulet baudet

Baudet d'un patron capitaliste, sans état d'âme

Dame, à lui les palaces de rêve

Rêve, en rester au rêve gens de la lune, comme ce mur illusionniste...

 

 

Le blog de Jill Bill

20 juin 2020 6 20 /06 /juin /2020 11:00

Mona Caron clic et clic

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Bon début d'été,

 

Mil et une

20 juin 2020 6 20 /06 /juin /2020 09:27

sujet 24/2020 - clic

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La roue tourne
 
Mais ça ne tourne pas rond !
 
Un train d'enfer...
 
 
Un dessin, des fois
 
Vaut mieux que mille explications

 

 

Le blog de Miche

 

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